Les Guildes d'Aranor
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Les Guildes d'Aranor


 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% sur les sacs à dos pour ordinateur portable Urban Factory ...
19.99 € 39.99 €
Voir le deal

 

 Présentation de Calypso

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Calypso Azura
Ange Bouquiniste
Calypso Azura


Messages : 59
Date d'inscription : 28/07/2015

Caractéristiques du mortel
Race/Nation/Guilde: Humaine/Feïral
Âge: 26 ans
Signes particuliers: Barde, garçon dans un corps féminin

Présentation de Calypso Empty
MessageSujet: Présentation de Calypso   Présentation de Calypso EmptyMar 28 Juil 2015 - 22:09


Azura
Calypso



QUI SUIS-JE ?
  • Nom : Azura
  • Prénom : Calypso
  • Surnom(s) (facultatif) : Cal, la ou le Barde
  • Sexe : Née femme
  • Âge et année de naissance : 26 ans - 827
  • Race et Royaume :Humaine - Sipheaï
  • Guilde et rang :/

DESCRIPTIONS

Description physique
    Physique : (3 lignes minimum)
    Cal a des cheveux noirs mi-longs, parfois rassemblés par un lien de cuir, une peau hâlée par une vie à l’extérieur et des yeux bleus clairs, s’assombrissant sur le bord de la pupille. Ses mains sont calleuses, avec des ongles courts, du fait de longues années de pratique de vièle et de sculpture. Des taches noires ornent parfois ses doigts, conséquence de la rédaction de quelques partitions.

    Une ancienne cicatrice, souvenir d’une bagarre d’enfance amicale qui s’est mal finie lorsqu’elle a trébuché contre une caisse éventrée, longe sa mâchoire sur quelques centimètres, plus claire, tranchant sur sa peau et durcit ses traits.

    Elle est de taille moyenne, environ un mètre soixante-dix, avec un visage assez fin. Son corps s’est assez peu développé à son adolescence ; ainsi, elle camoufle aisément sa poitrine. Ses hanches sont restées plutôt étroites, et elle module parfois sa voix, naturellement assez grave.

    Cal est plutôt frêle, mais la marche et la vie à la dure l’ont faite endurante. N’ayant jamais eu les moyens pour un cheval, elle erre dans Aranor à pieds, ce qui l’a aussi amenée à avoir quelques rudiments de chasse et cueillette et à se muscler un peu.
    Vêtements et Équipements :
    Calypso s’habille en règle générale de bottes, de gants marron en peau, d’une chemise blanche et d’un pantalon crème, sur lequel elle passe un manteau long et large un ton plus foncé. Ses vêtements amples lui permettent de brouiller sa silhouette, achevant de la rendre androgyne. Un foulard rouge un peu usé orne son cou, et elle le passe parfois sur ses cheveux.

    Comme instruments de musique, elle possède une vièle, qu’elle attache dans son dos à l’aide d’un large lien de cuir, et une flûte qu’elle a taillée elle-même dans un bois sombre tirant sur le rouge, passée à sa ceinture.

    Elle détient aussi un couteau à lame large, qu’elle utilise lorsqu’elle doit se défendre, une série d’outils pour sculpter et un masque en bois peint de noir et de blanc, qu’elle enfile notamment lorsqu’elle s’arrête quelque part pour jouer.

    Elle possède également quelques collets à lapin et un bâton de marche en bois clair, orné de gravures, ainsi que quelques parchemins et morceaux de charbon pour écrire ses partitions.
Description psychique
    Caractère : (4 lignes minimum)
    Calypso est quelqu’un de généralement calme, à l’humeur égale et au rire facile. La compagnie ne la dérange pas, mais elle préfère être seule et ne s’attache pas facilement. Elle aime à outrance se moquer des autres, de façon plus ou moins subtile et plus ou moins cruelle selon si l’on lui porte atteinte de quelque manière que ce soit. Elle essaye de se cultiver au maximum.

    Elle a du mal à tenir en place et va sans cesse de ville en ville, gagnant sa vie en faisant de la musique, parfois en chantant. S’il le faut, voler le nécessaire ne la dérange pas. Devoir errer seule l’a aussi poussé à être méfiante et à ne pas accorder sa confiance au premier venu, mais elle se montre en général aimable.

    L’une de ses passions, excepté la musique, est de, selon ses humeurs, jouer sur son physique plutôt androgyne pour se faire passer tantôt pour un homme, tantôt pour une femme. Elle adapte le nom qu’elle donne en fonction : soit Cal, soit Calypso.
    Plus précisément, elle tend à se définir comme étant ni femme, ni homme, mais s’amuse à jouer dessus. Sa façon de se genrer dépend du jour, et il lui arrive de passer du féminin au masculin subitement.

    Contrairement à sa prédécesseure (n'est-ce pas), il arrive à Cal d'avoir quelques aventures d'un soir, quoique plutôt rarement.
    Préférences :
    Calypso n'apprécie pas qu'on préjuge de ses comportements et de ses goûts en fonction du genre qu'elle communique. Comme sa créatrice, elle aime bien la bière, voire les alcools plus forts.

HISTOIRE
(15 lignes minimum)
Calypso Azura s’arrêta net aux portes de Sipheaï, juste avant de les franchir avec la caravane dans laquelle elle s’était faite enrôlée. Elle se retourna, contempla la cité des sables, l’entrelacs de rues et de bâtisses, les grains nuancés traçant les rainures des pavés, la foule mouvante et bariolée, les ombres vertes des plantes.

Elle était née dans cette ville, dans l’ombre d’une des maisons modestes, là où la végétation se raréfie. Le travail de ses parents, sculpteurs de bois, ne leur permettaient pas la richesse, mais ils avaient toujours réussi à vivre malgré cela. En fermant les yeux, elle pouvait revoir leurs mains calleuses glisser sur la matière fibreuse, la ponçant, éclatant des copeaux à l’aide de fins outils, leurs doigts volant dans la lumière dorée se glissant dans leur demeure.

En fermant les yeux, elle pouvait voir ses propres mains imiter leurs gestes.

Son enfance s’était doucement déroulée entre l’odeur de sciure et les rues de Sipheaï, à courir avec les autres gamins, à jouer, escalader, se battre, rire et pleurer. Invariablement, à la fin de chaque journée passée à l’air libre, elle rejoignait ses parents au marché, où ils vendaient leur travail et, tous ensembles, ils rentraient chez eux. Alors, soit ils sculptaient tous ensembles, soit ils enseignaient à leur fille quelques rudiments de lecture, écriture et mathématiques, essentiels dans le commerce et pour les commandes.

Comme bien d’autres, son avenir se profilait droit devant elle. Elle reprendrait le travail de ses parents, se marierait probablement à un autre sculpteur, et finirait sa vie entre les murs de sables de la cité. Elle n’y pensait pas vraiment. De temps en temps, ses parents parlaient de son frère, plus âgé qu’elle de dix ans, et qui avait fui la cité, son destin et leurs parents à presque seize ans, avec des amis.

Quand elle pensait à lui, elle voyait des mèches aussi noires que les siennes et des yeux du même bleu. Mais cela n’avait aucune importance. Ce frère sans visage, parti trop tôt, ne lui avait jamais manqué.

Et puis, alors âgée de dix ans, elle l’avait vue.

Elle.

La musicienne.

Vêtue d’une étourdissante robe blanche l’élevant au rang des anges, des boucles opalescentes s’échouant dans son dos, un regard vert à faire plier le plus sévère des dieux. Assise sur un tabouret, au milieu du marché, elle jouait de la vièle, sans un mot. Un pot devant elle attendait la bienveillance des passants, un ruban pâle orné de plumes cerclait son front.

Calypso, qui d’ordinaire ne tenait jamais en place, s’était assise devant elle et l’avait simplement écoutée. Toute la journée.

Elle n’était partie qu’en voyant la barde s’éloigner, une fois le soir tombé. Elle était rentrée chez elle, bercée par l’écho de la musique, et n’avait même pas bronché devant l’inquiétude de ses parents.

Le lendemain, en se réveillant, elle comprit qu’elle ne pouvait pas vivre comme ses géniteurs l’entendaient. Elle aimait sculpter, elle aimait voir s’achever une œuvre de bois entre ses doigts encore maladroits, mais elle refusait que sa vie s’arrête là. Elle en fit part à ses parents.

Au début, ils crurent à un caprice d’enfant. Mais elle persista, jour après jour, retournant écouter la musicienne tout le temps de son passage à Sipheaï, soit une semaine. Et, au final, ils parvinrent à lui payer des cours de musique.

Elle s’y révéla douée, assidue, se perdant sans regret dans un monde fait uniquement de notes. Elle quitta peu à peu les rues de la ville, quitta les bandes d’enfants, aidant ses parents à gagner de l’argent quand elle n’était pas en cours.

Un autre événement la poussa à s’éloigner de ceux de son âge. Le temps filant, elle se rapprochait de l’adolescence, et du moment où plus qu’enfant, elle serait vu femme. Elle-même n’en avait jamais eu conscience, voguant sur un doux esquif d’insouciance et ignorant le monde passant sans elle.

Et la réalité la frappa lorsque, désirant participer à un énième jeu de bagarre avec une ribambelle d’enfants qu’elle connaissait depuis longtemps, elle se vit refuser le droit de se battre, parce qu’elle était « une fille ».

Et elle n’avait pas compris.

A dire vrai, rêvassant avant de franchir les portes de la cité, elle ne comprenait toujours pas.

Mais cette altercation avait causé une longue et ininterrompue série de questions sur son identité, et des années d’observations. Elle en avait retiré qu’elle ne savait pas ce qu’était être fille, ce qu’était être garçon, mais qu’elle n’était ni l’un ni l’autre.

Avec les années, elle avait acquis un certain don pour la sculpture du bois, et un don certain pour la musique. Elle avait appris à jouer de sa non-identité définie et de son androgynie pour troubler les autres. Elle n’avait jamais abordé le sujet de son genre vague avec ses parents. Manque d’envie, peut-être peur de leur réaction.

Et peu à peu, était venue l’envie d’aller voir au-delà des murs de sable de la cité qui l’avait vu naître. Alors, à un peu plus de dix-huit ans, elle avait dépensé tout l’argent qu’elle s’était mis de côté, s’était acheté un foulard rouge, des vêtements de route, une vièle et avait annoncé à ses parents son désir de partir.

Ceux-ci, devant son engouement, avaient fini par plier, acceptant qu’aucun de leurs enfants ne se plieraient à la tradition familiale. Son père lui avait remis des outils de sculpture et un bout de bois, sa mère, un couteau pour se défendre. Cal était parvenue à se faire embaucher dans une caravane, afin de ne pas traverser le désert seule.

Et maintenant, debout, elle regardait une dernière fois derrière elle. Peut-être reviendrait-elle un jour. Peut-être pas.

Elle se détourna, fit le premier pas hors de la cité.

Cela faisait huit ans. Elle avait voyagé dans tout Aranor, s’était approché de la mer, tenue loin du sable, avait cherché les empreintes de son frère sans jamais rien trouver. Elle avait appris, lu, joué, avait dormi à la belle étoile et foulé des villes.
Afin de parfaire le trouble quant au sexe qu’on pouvait lui donner, elle se fabriqua un masque pour ombrer les traits de son visage.

Cela faisait huit ans, et elle ne regrettait rien.



POUVOIRS

Dons & particularités
    Joue de la musique, chante parfois. Sait sculpter le bois. Genre indéfini.

Autres
    J’aurais aimé faire un perso ni féminin, ni masculin, tout simplement : soit intersexe, soit je ne vous aurais rien dit. Mais la langue française ne laisse pas beaucoup de liberté de ce côté-là. Quoique, il y a une femme qui a écrit un livre entier (en français) où il n’y a aucun indice sur le genre de son personnage principal : aucun moyen de savoir s’il est femme ou homme. Il me faut ce bouquin.
    Sinon, j’aurais aussi aimé faire un perso trans, mais j’aurais alors abordé des rivages assez inconnus.

    A part ça, je pense que malgré le fait que Calypso tend plutôt à se genrer au féminin, en lien avec son sexe, elle se voit plutôt comme agenre ou genderfluid. La façon dont je rédigerais ça dépendra peut-être du genre qu’elle se donnera dans le rp en cours : si elle se fait passer pour un homme, j’écrirais au masculin, et inversement.

    Allez. Avouez. Je vous ai perdus <3.


Fiche créée par © nm.Papillon pour le forum les Guildes d'Aranor.
Revenir en haut Aller en bas
Inanna Al-Vyr
Mortel
Inanna Al-Vyr


Messages : 129
Date d'inscription : 14/07/2013

Caractéristiques du mortel
Race/Nation/Guilde: Humaine/Sipheaï/Seigneurs Marchands
Âge: 32
Signes particuliers: Trois runes tatouées au creux des reins, qui lui donneraient, parait-il, son charme contre-nature

Présentation de Calypso Empty
MessageSujet: Re: Présentation de Calypso   Présentation de Calypso EmptyMer 29 Juil 2015 - 13:39

Hahaha, elle s'entendrait bien avec Nishati *sort*

En tout cas, je laisse les hautes têtes décider de ton sort, mais je te souhaite bienvenue !

EDIT : ça m'apprendra à me précipiter sur ta fiche en mode "Nouveau-nouveau-nouveau". spèce de fourbe.
Revenir en haut Aller en bas
Calypso Azura
Ange Bouquiniste
Calypso Azura


Messages : 59
Date d'inscription : 28/07/2015

Caractéristiques du mortel
Race/Nation/Guilde: Humaine/Feïral
Âge: 26 ans
Signes particuliers: Barde, garçon dans un corps féminin

Présentation de Calypso Empty
MessageSujet: Re: Présentation de Calypso   Présentation de Calypso EmptyJeu 30 Juil 2015 - 9:47

Oba pourquoi pas x)
Merci pour le fourbe 8)
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Présentation de Calypso Empty
MessageSujet: Re: Présentation de Calypso   Présentation de Calypso Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Présentation de Calypso
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Présentation
» Présentation de Silvan Garret
» Présentation d'Hadrian Torasil
» Présentation d'Yllianna Lunéa
» Présentation de Murgah Glam

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Les Guildes d'Aranor :: Au Ciel :: Façonnage des mortels (Présentations) :: Mortels parcourant la terre (validés)-
Sauter vers: